Le secteur immobilier au Maroc est sans aucun doute l’un des plus importants de l’économie du pays. Certes le secteur a connu quelques déconfitures ces derniers temps notamment à cause de la crise politique qu’a connue l’Afrique du Nord. Par conséquent l’achat riad Marrakech a connu une baisse. Ce segment a certes connu une baisse mais dans l’ensemble le secteur a pu rester assez équilibré. Cet équilibre on le doit au fait que la force des autres segments a pu rattraper la faiblesse des segments fléchissant. De plus les investissements des promoteurs immobiliers ont aidé à maintenir le secteur dans un équilibre sain. Afin d’encourager les investissements l’Etat a pris des mesures autant sur le plan fiscal que sur le plan administratif afin que les promoteurs immobiliers aient moins de mal à investir au Maroc.
Grâce à ces investissements, le nombre de logements continue d’augmenter et bientôt le déficit en logements observé sera un lointain souvenir. Ces investissements permettent aussi à la population de continuer d’acquérir des logements. C’est surtout le cas pour ce qui concerne les logements sociaux et les logements à bas prix. Le gouvernement marocain a récemment signé des accords avec un certain nombre de promoteurs afin de lancer la construction de milliers d’unités de logements sociaux. Ces accords répartissent la construction des logements sociaux en fonction des régions et de leurs besoins. Pour le moment le gouvernement a autorisé la construction de 139 498 logements sociaux. Tanger et Casablanca sont les régions qui comptent le plus d’accords signés et qui bénéficient donc du plus grand nombre de ces projets. A elles deux, Casablanca et Tanger enregistrent environs 60% de la totalité des projets de construction de logements sociaux, soit environs 79 260 unités ; 30% pour Tanger et 28% pour Casablanca. La région du Souss-Massa-Draa compte quant à elle 13 300 logements unités à construire, ce qui correspond approximativement à 10% de la totalité des projets. Pour le moment Rabat-Salé ne compte que 3,2% des logements sociaux à construire sur les 13% qui sont censés être construits dans la région. Quant à Marrakech, elle n’en est encore qu’à 9% de projets validés pourtant elle devrait bénéficier du plus grand nombre d’unités. Pourquoi ce contraste entre ce qui devrait être fait et ce qui est fait concrètement ? Les experts pensent que cela est dû à la vitesse avec laquelle les administrations des différentes régions traitent les dossiers de réalisation des projets.
Pour ce qui est des réalisations, ou plutôt des chantiers lancés, à Rabat-Salé, seulement 3,6% des projets ont été lancés, ce qui correspond à environs 3 327 unités sur les 92 100 qui doivent être construites dans la région. La région de Marrakech est pratiquement dans la même situation, ceci peut une fois de plus être attribué à la lenteur avec laquelle les autorisations sont délivrées. Les promoteurs rencontres donc des difficultés à faire démarrer les chantiers dans la région de Marrakech. En tête de liste des mises en chantier, on a la région du Grand Casablanca qui en est déjà à 28%. Tandis que Tanger en est à 25%, Souss-Massa-Draa et Fès-Boulemane en sont environs à 10% toutes les deux.
Grâce à ces investissements, le nombre de logements continue d’augmenter et bientôt le déficit en logements observé sera un lointain souvenir. Ces investissements permettent aussi à la population de continuer d’acquérir des logements. C’est surtout le cas pour ce qui concerne les logements sociaux et les logements à bas prix. Le gouvernement marocain a récemment signé des accords avec un certain nombre de promoteurs afin de lancer la construction de milliers d’unités de logements sociaux. Ces accords répartissent la construction des logements sociaux en fonction des régions et de leurs besoins. Pour le moment le gouvernement a autorisé la construction de 139 498 logements sociaux. Tanger et Casablanca sont les régions qui comptent le plus d’accords signés et qui bénéficient donc du plus grand nombre de ces projets. A elles deux, Casablanca et Tanger enregistrent environs 60% de la totalité des projets de construction de logements sociaux, soit environs 79 260 unités ; 30% pour Tanger et 28% pour Casablanca. La région du Souss-Massa-Draa compte quant à elle 13 300 logements unités à construire, ce qui correspond approximativement à 10% de la totalité des projets. Pour le moment Rabat-Salé ne compte que 3,2% des logements sociaux à construire sur les 13% qui sont censés être construits dans la région. Quant à Marrakech, elle n’en est encore qu’à 9% de projets validés pourtant elle devrait bénéficier du plus grand nombre d’unités. Pourquoi ce contraste entre ce qui devrait être fait et ce qui est fait concrètement ? Les experts pensent que cela est dû à la vitesse avec laquelle les administrations des différentes régions traitent les dossiers de réalisation des projets.
Pour ce qui est des réalisations, ou plutôt des chantiers lancés, à Rabat-Salé, seulement 3,6% des projets ont été lancés, ce qui correspond à environs 3 327 unités sur les 92 100 qui doivent être construites dans la région. La région de Marrakech est pratiquement dans la même situation, ceci peut une fois de plus être attribué à la lenteur avec laquelle les autorisations sont délivrées. Les promoteurs rencontres donc des difficultés à faire démarrer les chantiers dans la région de Marrakech. En tête de liste des mises en chantier, on a la région du Grand Casablanca qui en est déjà à 28%. Tandis que Tanger en est à 25%, Souss-Massa-Draa et Fès-Boulemane en sont environs à 10% toutes les deux.
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